Démarches d'urbanisme : Urbanisme : construire et rénover

Vous avez un projet d'urbanisme, que vous soyez particulier, professionnel·le ou une entreprise, les services mutualisés de Bordeaux métropole vous accompagnent dans vos démarches. Un permis de construire ou de déclaration préalable, des procédures dématérialisées sont disponibles directement en ligne, 24h/24, 7 jours/7.

Publié le – Mis à jour le

Avant de débuter toute construction ou modification d’un bien immobilier, il est important de vérifier le Plan Local d’Urbanisme (PLU) en vigueur dans votre commune. Le PLU détermine les règles d’occupation du sol et les orientations en matière d’aménagement. Si votre projet nécessite une intervention spécifique, il est recommandé de contacter le service d’urbanisme de Bordeaux Métropole pour obtenir des informations personnalisées.

Quelle(s) démarche(s) pour mon projet ?

Pour les travaux de moindre importance, comme les petites extensions ou les aménagements intérieurs, une déclaration préalable de travaux est souvent requise. Pour des projets plus conséquents, comme la construction d’une maison individuelle, un permis de construire est généralement exigé. Ces démarches impliquent la constitution d’un dossier comprenant des plans, des formulaires administratifs et parfois des pièces complémentaires.

Les différents conseils ci-dessous permettent de mieux comprendre les règles d’urbanisme et de mieux identifier votre projet.

  1. Je consulte le règlement d’urbanisme : Les règles différentes selon la zone où se situe votre projet sur la commune. Elles sont définies dans le Plan Local d’Urbanisme de Bordeaux Métropole (PLU 3.1)
  2. Le Cadastre :  Il vous est possible d’obtenir des informations sur votre parcelle cadastrale à l’accueil du service urbanisme, Mairie de Bègles, mais aussi depuis le site : https://www.cadastre.gouv.fr/
  3. Le certificat d’urbanisme : il est possible de demander un certificat d’urbanisme pour obtenir des informations sur le terrain faisant l’objet de travaux.

En fonction de la nature de mon projet, j’obtiens une autorisation d’urbanisme.
La délivrance d’une autorisation d’urbanisme permet à la commune de vérifier la conformité des travaux par rapport aux règles d’urbanisme. Selon l’importance des travaux, il faut déposer un permis (Permis de construire, Permis d’aménager…) ou une déclaration préalable de travaux.

Les différentes demandes d’Autorisation d’Occupation du Sol (AOS)

  • Demande préalable (DP) ou Permis de construire (PC)
  • Transfert de permis de construire ou de permis d’aménager
  • Permis de démolir
  • Permis d’aménagement permet de contrôler les aménagements affectant l’utilisation du sol d’un terrain (exemple : impact environnemental).

Guichet unique en ligne

Bordeaux Métropole propose un guichet unique en ligne pour les usagers disponible 24h/7j, facilitant ainsi la centralisation des démarches. Une plateforme en ligne dédiée aux démarches fournit les informations nécessaires et les formulaires téléchargeables.

  1. Je me connecte au portail de dépôt numérique et je créais un compte
  2. Je saisis en ligne le Cerfa correspondant à ma demande
  3. Je dépose les pièces composant mon dossier
  4. Je valide mon dépôt pour recevoir un récépissé indiquant le délai d’instruction.
  5. Je suis en temps réel de l’état d’avancement de l’instruction de votre dossier.

Je dépose mon dossier

Attention, le dépôt d’un dossier papier en mairie reste possible. Mais contrairement au dépôt en ligne, il ne permet pas de disposer d’un suivi en temps réel de l’état d’avancement de l’instruction de votre dossier.

Une fois votre dossier validé, arrive l’étape tant attendue de la réalisation !

La durée de validité d’un permis de construire est de 3 ans. Ce délai peut être prorogé 2 fois pour une durée d’1 an.

Pour vous permettre de réaliser les travaux dans les meilleures conditions, voici quelques règles à suivre :

  • Affichage légale : Dès qu’une autorisation d’urbanisme ou une décision de non-opposition vous est accordée, vous avez l’obligation d’afficher cette autorisation sur votre terrain. Cet affichage doit être maintenu pendant toute la durée des travaux.
  • Pour permettre à vous et/ou aux différents corps de métier d’intervenir (benne, camion, échafaudage, etc.), il est nécessaire d’effectuer une demande de permission ou d’autorisation de voirie, de permis de stationnement, ou d’autorisation d’entreprendre des travaux et de la renvoyer, une fois complétée, à : espaces-publics@mairie-begles.fr
  • Respecter les horaires, à savoir les jours ouvrables : Correspond à tous les jours de la semaine, à l’exception du jour de repos hebdomadaire (généralement le dimanche) et des jours fériés habituellement non travaillés dans l’entreprise de 8h00 à 20h00 (ou de 7h30 à 19h30). Des dérogations par arrêté préfectoral ou municipal peuvent cependant être délivrées concernant les horaires des travaux, mais aussi les plages horaires d’utilisation de certains engins particulièrement bruyants.
  • Prévenir vos voisins : plus qu’un geste de courtoisie, c’est aussi une manière de se protéger contre une plainte éventuelle. Pour informer vos voisins, le meilleur moyen est de leur adresser un courrier. Votre lettre devra contenir des informations essentielles telles que le type de travaux et leur durée.

Bon à savoir

Le délai d’instruction est de 1 mois pour les déclarations préalables. Le délai de droit commun d’un permis de construire est de 2 mois pour les maisons individuelles, et de 3 mois pour tout autre permis (collectifs, entreprises…). Ces différents délais peuvent être plus long, si le projet se situe dans le périmètre des Bâtiments de France.

Dans les 15 jours qui suivent le dépôt du dossier et durant toute l’instruction, un avis de dépôt de demande de permis de construire précisant les caractéristiques essentielles de votre projet est affiché en mairie.

La durée de validité d’un permis de construire est de 3 ans. Ce délai peut être prorogé 2 fois pour une durée d’1 an.

Il vous est possible de consulter un dossier de permis de construire en mairie sauf pendant sa période d’instruction, car à ce stade, il ne constitue qu’un document préparatoire, non communicable et non consultable.

Permanences en mairie

Vous avez des questions, votre projet nécessite un accompagnement spécifique, vous pouvez prendre rendez-vous en mairie avec un·e instructeur·trice.

La prise de rendez-vous se fait uniquement par téléphone au 05 56 49 88 37

Suivi médical professionnel d’un agent public

En tant qu’agent public, vous bénéficiez, au cours de votre carrière, d’un suivi médical par le médecin du travail.

Conditions de travail dans la fonction publique

    À votre entrée dans la fonction publique, si vos fonctions nécessitent des conditions de santé particulières, vous passez un examen médical auprès d’un médecin agréé par l’administration.

    Ces conditions de santé particulières sont définies par le statut particulier du corps auquel vous allez appartenir, ou auquel votre emploi est assimilé si vous êtes contractuel.

    Cela est par exemple le cas pour certains corps de la police nationale ou pour le corps des personnels de surveillance de l’administration pénitentiaire.

    Lors de cet examen, le médecin vérifie que vous remplissez les conditions d’aptitude physique requises pour exercer l’emploi envisagé.

    Quand le recrutement s’effectue d’abord en école ou en établissement d’enseignement, l’examen médical d’embauche a lieu lors de l’admission dans l’école ou l’établissement.

    Si vous, ou votre administration, contestez les conclusions du médecin, vous pouvez saisir pour avis le conseil médical dans les 2 mois.

    Les frais de cet examen sont à la charge de l’administration.

    Visite périodique

    Vous bénéficiez d’une visite d’information et de prévention tous les 5 ans.

    Cette visite peut être réalisée par le médecin du travail, un collaborateur médecin ou un infirmier.

    La visite d’information et de prévention a pour but de vous interroger sur votre état de santé.

    Cette visite a aussi pour but de vous informer sur les risques éventuels auxquels votre poste de travail vous expose et sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    À la fin de chaque visite d’information et de prévention, le professionnel de santé qui l’a effectué (si ce n’est pas le médecin du travail), peut vous orienter vers le médecin du travail, s’il juge que votre état de santé ou les risques auxquels vous êtes exposé le nécessitent.

    Vous devez fournir à votre administration le justificatif de votre visite d’information et de prévention.

    Surveillance médicale particulière

    En plus de la visite d’information et de prévention, le médecin du travail effectue une surveillance médicale particulière si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

    • Vous êtes en situation de handicap

    • Vous êtes enceinte ou venez d’accoucher ou vous êtes allaitante

    • Vous êtes réintégré après un congé de longue maladie ou de longue durée

    • Vous occupez un poste dans un service comportant des risques particuliers

    • Vous souffrez de pathologies particulières

    Le médecin du travail définit la fréquence et la nature du suivi que comporte cette surveillance médicale dont la périodicité ne peut pas être supérieure à 4 ans.

    Une visite intermédiaire est effectuée par un médecin du travail, un collaborateur médecin ou un infirmier.

    Ces visites sont obligatoires.

    Le médecin du travail peut proposer des aménagements de votre poste de travail ou de vos conditions de travail, en raison de votre âge ou de votre résistance physique ou de votre état de santé.

    Il peut aussi proposer des aménagements temporaires de votre poste de travail ou de vos conditions de travail si vous êtes enceinte, venant d’accoucher ou allaitante.

    Lorsque l’administration ne suit pas l’avis du médecin du travail, sa décision doit être motivée par écrit et le comité social doit en être informé.

    Visite médicale à la demande

    Vous pouvez demander à bénéficier à tout moment d’une visite avec le médecin du travail ou un membre du service de médecine du travail sans que l’administration en connaisse le motif.

    Et votre administration employeur peut demander au médecin du travail de vous recevoir si elle juge que votre état de santé le nécessite.

    Elle doit vous informer de cette démarche.

    Lorsque vous quittez définitivement la fonction publique, vous pouvez avoir droit à un suivi médical post-professionnel.

    C’est le cas si vous avez été exposé, dans le cadre de vos fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c’est-à-dire pouvant provoquer l’apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction.

    C’est aussi le cas si vous avez été exposé d’une façon habituelle à des agents nocifs pouvant entraîner une maladie professionnelle.

    Vous avez droit à ce suivi médical post-professionnel en cas de démission, de licenciement, de départ en retraite, etc.

    Ce suivi médical est pris en charge par la dernière administration au sein de laquelle vous avez été exposé.

    Si cette administration ne peut pas être identifiée, le suivi médical est pris en charge par l’administration dont vous relevez au moment de votre cessation définitive de fonctions.

    Vous êtes informé de votre droit par l’administration au moment où vous cessez définitivement vos fonctions.

    L’administration vous délivre pour cela une attestation d’exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin du travail.

    Le suivi post-professionnel peut être assuré, à votre choix, par le service de médecine de prévention de l’administration.

    Il peut aussi être assuré par tout médecin de votre choix ou par les centres médicaux avec lesquels l’administration a passé une convention.

    À votre entrée dans la fonction publique, si vos fonctions nécessitent des conditions de santé particulières, vous passez un examen médical auprès d’un médecin agréé par l’administration.

    Ces conditions de santé particulières sont définies par le statut particulier du cadre d’emplois auquel vous allez appartenir, ou auquel votre emploi est assimilé si vous êtes contractuel.

    C’est par exemple le cas pour les sapeurs-pompiers.

    Lors de cet examen, le médecin vérifie que vous remplissez les conditions d’aptitude physique requises pour exercer l’emploi envisagé.

    Quand le recrutement s’effectue d’abord en école ou en établissement d’enseignement, l’examen médical d’embauche a lieu lors de l’admission dans l’école ou l’établissement.

    Si vous, ou votre administration, contestez les conclusions du médecin, vous pouvez saisir pour avis le conseil médical dans les 2 mois.

    Les frais de cet examen sont à la charge de l’administration.

    Visite périodique

    Vous bénéficiez d’une visite d’information et de prévention au moins tous les 2 ans.

    Cette visite peut être réalisée par le médecin du travail, un collaborateur médecin ou un infirmier.

    La visite d’information et de prévention a pour but de vous interroger sur votre état de santé.

    Cette visite a aussi pour but de vous informer sur les risques éventuels auxquels votre poste de travail vous expose et sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    À la fin de chaque visite d’information et de prévention, le professionnel de santé qui l’a effectué (si ce n’est pas le médecin du travail), peut vous orienter vers le médecin du travail, s’il juge que votre état de santé ou les risques auxquels vous êtes exposé le nécessitent.

    Vous devez fournir à votre administration le justificatif de votre visite d’information et de prévention.

    À noter

    Si vous occupez plusieurs emplois à temps non complet, la visite d’information et de prévention se déroule dans la collectivité qui vous emploie le plus longtemps.

    Surveillance médicale particulière

    En plus de la visite d’information et de prévention, le médecin du travail effectue une surveillance médicale particulière si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

    • Vous êtes en situation de handicap

    • Vous êtes enceinte ou venez d’accoucher ou allaitante

    • Vous êtes réintégré après un congé de longue maladie ou de longue durée

    • Vous occupez un poste dans un service comportant des risques particuliers

    • Vous souffrez de pathologies particulières

    Le médecin du travail définit la fréquence et la nature du suivi que comporte cette surveillance médicale.

    Ces visites sont obligatoires.

    Le médecin du travail peut proposer des aménagements de votre poste de travail ou de vos conditions de travail, en raison de votre âge ou de votre résistance physique ou de votre état de santé.

    Il peut aussi proposer des aménagements temporaires de votre poste de travail ou de vos conditions de travail si vous êtes enceinte, venant d’accoucher ou allaitante.

    Lorsque l’administration ne suit pas l’avis du médecin du travail, sa décision doit être motivée par écrit et le comité social doit en être informé.

    Visite médicale à la demande

    Vous pouvez demander à bénéficier à tout moment d’une visite avec le médecin du travail ou un membre du service de médecine du travail sans que l’administration en connaisse le motif.

    Et votre administration employeur peut demander au médecin du travail de vous recevoir si elle juge que votre état de santé le nécessite.

    Elle doit vous informer de cette démarche.

    Lorsque vous quittez définitivement la fonction publique, vous pouvez avoir droit à un suivi médical post-professionnel.

    C’est le cas si vous avez été exposé, dans le cadre de vos fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c’est-à-dire pouvant provoquer l’apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction.

    C’est aussi le cas si vous avez été exposé d’une façon habituelle à des agents nocifs pouvant entraîner une maladie professionnelle.

    Vous avez droit à ce suivi médical post-professionnel en cas de démission, de départ en retraite, etc.

    Ce suivi médical est pris en charge par la dernière collectivité territoriale au sein de laquelle vous avez été exposé.

    Si cette collectivité ne peut pas être identifiée, le suivi médical est pris en charge par la collectivité dont vous relevez au moment de votre cessation définitive de fonctions.

    Vous êtes informé de votre droit par votre collectivité au moment où vous cessez définitivement vos fonctions.

    L’administration vous délivre pour cela une attestation d’exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin de prévention.

    À votre entrée dans la fonction publique, si vos fonctions nécessitent des conditions de santé particulières, vous passez un examen médical auprès d’un médecin agréé par l’administration.

    Ces conditions de santé particulières sont définies par le statut particulier du corps auquel vous allez appartenir, ou auquel votre emploi est assimilé si vous êtes contractuel.

    Lors de cet examen, le médecin vérifie que vous remplissez les conditions d’aptitude physique requises pour exercer l’emploi envisagé.

    Quand le recrutement s’effectue d’abord en école ou en établissement d’enseignement, l’examen médical d’embauche a lieu lors de l’admission dans l’école ou l’établissement.

    Si vous, ou votre administration, contestez les conclusions du médecin, vous pouvez saisir pour avis le conseil médical dans les 2 mois.

    Les frais de cet examen sont à la charge de l’administration.

    Lors de chaque prise de poste

    Avant votre prise de fonction, vous passez un examen médical auprès du médecin du travail.

    Cet examen a pour but de vérifier la compatibilité de votre état de santé avec les conditions de travail du poste sur lequel vous êtes affecté.

    Dans une démarche de prévention des maladies infectieuses transmissibles, le médecin du travail prévoit les examens complémentaires adaptés selon vos antécédents et votre poste.

    Le médecin du travail peut notamment prescrire les examens complémentaires nécessaires au dépistage d’affections comportant une contre-indication au poste de travail.

    Cet examen médical comporte notamment un test de dépistage de la tuberculose et une radiographie pulmonaire sauf si vous disposez d’un certificat établi par un pneumophtisiologue agréé et d’un cliché pulmonaire de moins de 3 mois.

    Le médecin du travail procède aux examens complémentaires prévus si vous êtes exposé à des risques particuliers. C’est par exemple le cas si vous êtes exposé aux rayonnements ionisants ou à des agents biologiques pouvant provoquer une maladie grave.

    Le médecin du travail veille à ce que vous effectuiez les vaccinations obligatoires.

    Il procède lui-même ou fait procéder à ces vaccinations et à celles qui seraient imposées par une épidémie.

    Vous pouvez vous faire vacciner auprès du médecin de votre choix et fournissez un certificat détaillé.

    Le médecin du travail peut pratiquer les vaccinations recommandées en cas de risques particuliers de contagion.

    Le médecin du travail est informé par le chef d’établissement, le plus tôt possible, de tout changement d’affectation. À cette occasion, il peut prendre l’initiative de vous soumettre à un nouvel examen.

    Examen périodique

    Vous bénéficiez d’un examen médical tous les 2 ans.

    Des examens médicaux ou des entretiens infirmiers peuvent être réalisés plus fréquemment sur avis du médecin du travail si vous êtes exposé à des risques particuliers.

    Vous bénéficiez d’une surveillance médicale renforcée si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

    • Vous êtes âgé de moins de 18 ans

    • Vous travaillez de nuit

    • Vous êtes réintégré après un congé de longue durée ou de longue maladie

    Examen de reprise du travail

    Vous bénéficiez d’un examen de reprise après l’une des absences suivantes :

    • Congé de maternité

    • Arrêt de travail pour accident du travail ou maladie professionnelle

    • Arrêt de travail d’au moins 30 jours pour cause d’accident du travail, de maladie ou d’accident non professionnel ou, à l’initiative du médecin du travail, pour une absence d’une durée inférieure à 30 jours

    Lorsque vous quittez définitivement la fonction publique, vous pouvez avoir droit à un suivi médical post-professionnel.

    C’est le cas si vous avez été exposé, dans le cadre de vos fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c’est-à-dire pouvant provoquer l’apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction.

    C’est aussi le cas si vous avez été exposé d’une façon habituelle à des agents nocifs pouvant entraîner une maladie professionnelle.

    Vous avez droit à ce suivi médical post-professionnel en cas de démission, de départ en retraite, etc.

    Ce suivi médical est pris en charge par l’établissement au sein duquel vous avez été exposé.

    Lorsque cet établissement ne peut pas être identifié, le suivi médical est pris en charge par l’établissement dont vous relevez au moment de votre cessation définitive de fonctions.

    Vous êtes informé de votre droit par l’administration au moment où vous cessez définitivement vos fonctions.

    L’administration vous délivre à cet effet pour cela une attestation d’exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin du travail.

    Le suivi post-professionnel peut être assuré, à votre choix, dans le cadre d’une consultation hospitalière ou par tout médecin choisi librement.

    Suivi médical professionnel d’un agent public

    En tant qu’agent public, vous bénéficiez, au cours de votre carrière, d’un suivi médical par le médecin du travail.

    Conditions de travail dans la fonction publique

      À votre entrée dans la fonction publique, si vos fonctions nécessitent des conditions de santé particulières, vous passez un examen médical auprès d’un médecin agréé par l’administration.

      Ces conditions de santé particulières sont définies par le statut particulier du corps auquel vous allez appartenir, ou auquel votre emploi est assimilé si vous êtes contractuel.

      Cela est par exemple le cas pour certains corps de la police nationale ou pour le corps des personnels de surveillance de l’administration pénitentiaire.

      Lors de cet examen, le médecin vérifie que vous remplissez les conditions d’aptitude physique requises pour exercer l’emploi envisagé.

      Quand le recrutement s’effectue d’abord en école ou en établissement d’enseignement, l’examen médical d’embauche a lieu lors de l’admission dans l’école ou l’établissement.

      Si vous, ou votre administration, contestez les conclusions du médecin, vous pouvez saisir pour avis le conseil médical dans les 2 mois.

      Les frais de cet examen sont à la charge de l’administration.

      Visite périodique

      Vous bénéficiez d’une visite d’information et de prévention tous les 5 ans.

      Cette visite peut être réalisée par le médecin du travail, un collaborateur médecin ou un infirmier.

      La visite d’information et de prévention a pour but de vous interroger sur votre état de santé.

      Cette visite a aussi pour but de vous informer sur les risques éventuels auxquels votre poste de travail vous expose et sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

      À la fin de chaque visite d’information et de prévention, le professionnel de santé qui l’a effectué (si ce n’est pas le médecin du travail), peut vous orienter vers le médecin du travail, s’il juge que votre état de santé ou les risques auxquels vous êtes exposé le nécessitent.

      Vous devez fournir à votre administration le justificatif de votre visite d’information et de prévention.

      Surveillance médicale particulière

      En plus de la visite d’information et de prévention, le médecin du travail effectue une surveillance médicale particulière si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

      • Vous êtes en situation de handicap

      • Vous êtes enceinte ou venez d’accoucher ou vous êtes allaitante

      • Vous êtes réintégré après un congé de longue maladie ou de longue durée

      • Vous occupez un poste dans un service comportant des risques particuliers

      • Vous souffrez de pathologies particulières

      Le médecin du travail définit la fréquence et la nature du suivi que comporte cette surveillance médicale dont la périodicité ne peut pas être supérieure à 4 ans.

      Une visite intermédiaire est effectuée par un médecin du travail, un collaborateur médecin ou un infirmier.

      Ces visites sont obligatoires.

      Le médecin du travail peut proposer des aménagements de votre poste de travail ou de vos conditions de travail, en raison de votre âge ou de votre résistance physique ou de votre état de santé.

      Il peut aussi proposer des aménagements temporaires de votre poste de travail ou de vos conditions de travail si vous êtes enceinte, venant d’accoucher ou allaitante.

      Lorsque l’administration ne suit pas l’avis du médecin du travail, sa décision doit être motivée par écrit et le comité social doit en être informé.

      Visite médicale à la demande

      Vous pouvez demander à bénéficier à tout moment d’une visite avec le médecin du travail ou un membre du service de médecine du travail sans que l’administration en connaisse le motif.

      Et votre administration employeur peut demander au médecin du travail de vous recevoir si elle juge que votre état de santé le nécessite.

      Elle doit vous informer de cette démarche.

      Lorsque vous quittez définitivement la fonction publique, vous pouvez avoir droit à un suivi médical post-professionnel.

      C’est le cas si vous avez été exposé, dans le cadre de vos fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c’est-à-dire pouvant provoquer l’apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction.

      C’est aussi le cas si vous avez été exposé d’une façon habituelle à des agents nocifs pouvant entraîner une maladie professionnelle.

      Vous avez droit à ce suivi médical post-professionnel en cas de démission, de licenciement, de départ en retraite, etc.

      Ce suivi médical est pris en charge par la dernière administration au sein de laquelle vous avez été exposé.

      Si cette administration ne peut pas être identifiée, le suivi médical est pris en charge par l’administration dont vous relevez au moment de votre cessation définitive de fonctions.

      Vous êtes informé de votre droit par l’administration au moment où vous cessez définitivement vos fonctions.

      L’administration vous délivre pour cela une attestation d’exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin du travail.

      Le suivi post-professionnel peut être assuré, à votre choix, par le service de médecine de prévention de l’administration.

      Il peut aussi être assuré par tout médecin de votre choix ou par les centres médicaux avec lesquels l’administration a passé une convention.

      À votre entrée dans la fonction publique, si vos fonctions nécessitent des conditions de santé particulières, vous passez un examen médical auprès d’un médecin agréé par l’administration.

      Ces conditions de santé particulières sont définies par le statut particulier du cadre d’emplois auquel vous allez appartenir, ou auquel votre emploi est assimilé si vous êtes contractuel.

      C’est par exemple le cas pour les sapeurs-pompiers.

      Lors de cet examen, le médecin vérifie que vous remplissez les conditions d’aptitude physique requises pour exercer l’emploi envisagé.

      Quand le recrutement s’effectue d’abord en école ou en établissement d’enseignement, l’examen médical d’embauche a lieu lors de l’admission dans l’école ou l’établissement.

      Si vous, ou votre administration, contestez les conclusions du médecin, vous pouvez saisir pour avis le conseil médical dans les 2 mois.

      Les frais de cet examen sont à la charge de l’administration.

      Visite périodique

      Vous bénéficiez d’une visite d’information et de prévention au moins tous les 2 ans.

      Cette visite peut être réalisée par le médecin du travail, un collaborateur médecin ou un infirmier.

      La visite d’information et de prévention a pour but de vous interroger sur votre état de santé.

      Cette visite a aussi pour but de vous informer sur les risques éventuels auxquels votre poste de travail vous expose et sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

      À la fin de chaque visite d’information et de prévention, le professionnel de santé qui l’a effectué (si ce n’est pas le médecin du travail), peut vous orienter vers le médecin du travail, s’il juge que votre état de santé ou les risques auxquels vous êtes exposé le nécessitent.

      Vous devez fournir à votre administration le justificatif de votre visite d’information et de prévention.

      À noter

      Si vous occupez plusieurs emplois à temps non complet, la visite d’information et de prévention se déroule dans la collectivité qui vous emploie le plus longtemps.

      Surveillance médicale particulière

      En plus de la visite d’information et de prévention, le médecin du travail effectue une surveillance médicale particulière si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

      • Vous êtes en situation de handicap

      • Vous êtes enceinte ou venez d’accoucher ou allaitante

      • Vous êtes réintégré après un congé de longue maladie ou de longue durée

      • Vous occupez un poste dans un service comportant des risques particuliers

      • Vous souffrez de pathologies particulières

      Le médecin du travail définit la fréquence et la nature du suivi que comporte cette surveillance médicale.

      Ces visites sont obligatoires.

      Le médecin du travail peut proposer des aménagements de votre poste de travail ou de vos conditions de travail, en raison de votre âge ou de votre résistance physique ou de votre état de santé.

      Il peut aussi proposer des aménagements temporaires de votre poste de travail ou de vos conditions de travail si vous êtes enceinte, venant d’accoucher ou allaitante.

      Lorsque l’administration ne suit pas l’avis du médecin du travail, sa décision doit être motivée par écrit et le comité social doit en être informé.

      Visite médicale à la demande

      Vous pouvez demander à bénéficier à tout moment d’une visite avec le médecin du travail ou un membre du service de médecine du travail sans que l’administration en connaisse le motif.

      Et votre administration employeur peut demander au médecin du travail de vous recevoir si elle juge que votre état de santé le nécessite.

      Elle doit vous informer de cette démarche.

      Lorsque vous quittez définitivement la fonction publique, vous pouvez avoir droit à un suivi médical post-professionnel.

      C’est le cas si vous avez été exposé, dans le cadre de vos fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c’est-à-dire pouvant provoquer l’apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction.

      C’est aussi le cas si vous avez été exposé d’une façon habituelle à des agents nocifs pouvant entraîner une maladie professionnelle.

      Vous avez droit à ce suivi médical post-professionnel en cas de démission, de départ en retraite, etc.

      Ce suivi médical est pris en charge par la dernière collectivité territoriale au sein de laquelle vous avez été exposé.

      Si cette collectivité ne peut pas être identifiée, le suivi médical est pris en charge par la collectivité dont vous relevez au moment de votre cessation définitive de fonctions.

      Vous êtes informé de votre droit par votre collectivité au moment où vous cessez définitivement vos fonctions.

      L’administration vous délivre pour cela une attestation d’exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin de prévention.

      À votre entrée dans la fonction publique, si vos fonctions nécessitent des conditions de santé particulières, vous passez un examen médical auprès d’un médecin agréé par l’administration.

      Ces conditions de santé particulières sont définies par le statut particulier du corps auquel vous allez appartenir, ou auquel votre emploi est assimilé si vous êtes contractuel.

      Lors de cet examen, le médecin vérifie que vous remplissez les conditions d’aptitude physique requises pour exercer l’emploi envisagé.

      Quand le recrutement s’effectue d’abord en école ou en établissement d’enseignement, l’examen médical d’embauche a lieu lors de l’admission dans l’école ou l’établissement.

      Si vous, ou votre administration, contestez les conclusions du médecin, vous pouvez saisir pour avis le conseil médical dans les 2 mois.

      Les frais de cet examen sont à la charge de l’administration.

      Lors de chaque prise de poste

      Avant votre prise de fonction, vous passez un examen médical auprès du médecin du travail.

      Cet examen a pour but de vérifier la compatibilité de votre état de santé avec les conditions de travail du poste sur lequel vous êtes affecté.

      Dans une démarche de prévention des maladies infectieuses transmissibles, le médecin du travail prévoit les examens complémentaires adaptés selon vos antécédents et votre poste.

      Le médecin du travail peut notamment prescrire les examens complémentaires nécessaires au dépistage d’affections comportant une contre-indication au poste de travail.

      Cet examen médical comporte notamment un test de dépistage de la tuberculose et une radiographie pulmonaire sauf si vous disposez d’un certificat établi par un pneumophtisiologue agréé et d’un cliché pulmonaire de moins de 3 mois.

      Le médecin du travail procède aux examens complémentaires prévus si vous êtes exposé à des risques particuliers. C’est par exemple le cas si vous êtes exposé aux rayonnements ionisants ou à des agents biologiques pouvant provoquer une maladie grave.

      Le médecin du travail veille à ce que vous effectuiez les vaccinations obligatoires.

      Il procède lui-même ou fait procéder à ces vaccinations et à celles qui seraient imposées par une épidémie.

      Vous pouvez vous faire vacciner auprès du médecin de votre choix et fournissez un certificat détaillé.

      Le médecin du travail peut pratiquer les vaccinations recommandées en cas de risques particuliers de contagion.

      Le médecin du travail est informé par le chef d’établissement, le plus tôt possible, de tout changement d’affectation. À cette occasion, il peut prendre l’initiative de vous soumettre à un nouvel examen.

      Examen périodique

      Vous bénéficiez d’un examen médical tous les 2 ans.

      Des examens médicaux ou des entretiens infirmiers peuvent être réalisés plus fréquemment sur avis du médecin du travail si vous êtes exposé à des risques particuliers.

      Vous bénéficiez d’une surveillance médicale renforcée si vous vous trouvez dans l’une des situations suivantes :

      • Vous êtes âgé de moins de 18 ans

      • Vous travaillez de nuit

      • Vous êtes réintégré après un congé de longue durée ou de longue maladie

      Examen de reprise du travail

      Vous bénéficiez d’un examen de reprise après l’une des absences suivantes :

      • Congé de maternité

      • Arrêt de travail pour accident du travail ou maladie professionnelle

      • Arrêt de travail d’au moins 30 jours pour cause d’accident du travail, de maladie ou d’accident non professionnel ou, à l’initiative du médecin du travail, pour une absence d’une durée inférieure à 30 jours

      Lorsque vous quittez définitivement la fonction publique, vous pouvez avoir droit à un suivi médical post-professionnel.

      C’est le cas si vous avez été exposé, dans le cadre de vos fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c’est-à-dire pouvant provoquer l’apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction.

      C’est aussi le cas si vous avez été exposé d’une façon habituelle à des agents nocifs pouvant entraîner une maladie professionnelle.

      Vous avez droit à ce suivi médical post-professionnel en cas de démission, de départ en retraite, etc.

      Ce suivi médical est pris en charge par l’établissement au sein duquel vous avez été exposé.

      Lorsque cet établissement ne peut pas être identifié, le suivi médical est pris en charge par l’établissement dont vous relevez au moment de votre cessation définitive de fonctions.

      Vous êtes informé de votre droit par l’administration au moment où vous cessez définitivement vos fonctions.

      L’administration vous délivre à cet effet pour cela une attestation d’exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin du travail.

      Le suivi post-professionnel peut être assuré, à votre choix, dans le cadre d’une consultation hospitalière ou par tout médecin choisi librement.

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