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Service urbanisme réglementaire de proximité
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Publié le – Mis à jour le
Avant de débuter toute construction ou modification d’un bien immobilier, il est important de vérifier le Plan Local d’Urbanisme (PLU) en vigueur dans votre commune. Le PLU détermine les règles d’occupation du sol et les orientations en matière d’aménagement. Si votre projet nécessite une intervention spécifique, il est recommandé de contacter le service d’urbanisme de Bordeaux Métropole pour obtenir des informations personnalisées.
Pour les travaux de moindre importance, comme les petites extensions ou les aménagements intérieurs, une déclaration préalable de travaux est souvent requise. Pour des projets plus conséquents, comme la construction d’une maison individuelle, un permis de construire est généralement exigé. Ces démarches impliquent la constitution d’un dossier comprenant des plans, des formulaires administratifs et parfois des pièces complémentaires.
Les différents conseils ci-dessous permettent de mieux comprendre les règles d’urbanisme et de mieux identifier votre projet.
En fonction de la nature de mon projet, j’obtiens une autorisation d’urbanisme.
La délivrance d’une autorisation d’urbanisme permet à la commune de vérifier la conformité des travaux par rapport aux règles d’urbanisme. Selon l’importance des travaux, il faut déposer un permis (Permis de construire, Permis d’aménager…) ou une déclaration préalable de travaux.
Les différentes demandes d’Autorisation d’Occupation du Sol (AOS)
Bordeaux Métropole propose un guichet unique en ligne pour les usagers disponible 24h/7j, facilitant ainsi la centralisation des démarches. Une plateforme en ligne dédiée aux démarches fournit les informations nécessaires et les formulaires téléchargeables.
Attention, le dépôt d’un dossier papier en mairie reste possible. Mais contrairement au dépôt en ligne, il ne permet pas de disposer d’un suivi en temps réel de l’état d’avancement de l’instruction de votre dossier.
Une fois votre dossier validé, arrive l’étape tant attendue de la réalisation !
La durée de validité d’un permis de construire est de 3 ans. Ce délai peut être prorogé 2 fois pour une durée d’1 an.
Pour vous permettre de réaliser les travaux dans les meilleures conditions, voici quelques règles à suivre :
Vous avez des questions, votre projet nécessite un accompagnement spécifique, vous pouvez prendre rendez-vous en mairie avec un·e instructeur·trice.
La prise de rendez-vous se fait uniquement par téléphone au 05 56 49 88 37
Lorsqu’un étudiant non européen fait ses études en France, il a un titre de séjour étudiant. Pendant ses études en France, l’étudiant étranger peut exercer une activité salariée sous certaines conditions. Des règles particulières s’appliquent en fonction de la nationalité de l’étudiant étranger. Combien d’heures un étudiant étranger peut-il travailler pendant ses études ? L’employeur doit-il demander une autorisation de travail ? Nous faisons un point sur la réglementation.
Des règles particulières s’appliquent en fonction de la nationalité de l’étudiant étranger.
Un étudiant étranger non européen peut être autorisé à travailler. En fonction de différentes situations, les règles à respecter ne sont pas les mêmes.
Oui, un étudiant étranger non européen peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
L’étudiant peut travailler 964 heures par an maximum ( 60 % de la durée annuelle légale du travail).
S’il ne respecte pas cette limite, il risque le retrait et le refus de renouvellement de son titre de séjour.
Cette durée commence à la délivrance de la carte ou la validation du VLS-TS. Par exemple, si le titre de séjour a été délivré le 20 septembre 2023, il peut travailler 964 heures au maximum jusqu’au 19 septembre 2024.
L’étudiant peut exercer toute activité salariée sans autre autorisation de travail.
L’employeur n’a pas à demander d’autorisation de travail.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, sous certaines conditions, l’étudiant étranger non européen peut suivre un contrat d’apprentissage.
Pour signer un contrat d’apprentissage, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
En cas d’inscription pour un diplôme de master ou un diplôme de niveau I reconnu par la Conférence des grandes écoles , la condition d’1 an pour signer un contrat d’apprentissage n’est pas demandée.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
Il peut travailler au-delà de 964 heures/an dans le cadre de ses études.
Quand le contrat est validé par l’opérateur de compétences (OPCO) (ou par la Dreets en cas d’apprentissage dans la fonction publique), l’employeur n’a pas à demander d’autorisation de travail.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, sous certaines conditions, l’étudiant étranger non européen peut suivre un contrat de professionnalisation.
Pour signer un contrat de professionnalisation, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
Il peut travailler au-delà de 964 heures/an dans le cadre de ses études.
Pour travailler plus de 964 heures, l’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, un étudiant étranger non européen peut travailler pendant ses études lorsque celles-ci comprennent une séquence de travail salarié pendant ses études.
L’étudiant avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
L’étudiant peut travailler dans la limite de 964 heures par an dans le cadre de ses études.
Pour travailler plus de 964 heures, l’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, un étudiant étranger non européen venu pour 6 mois peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour de 6 mois.
La durée de travail autorisée est proportionnelle à la durée de ses études (par exemple, 482 heures maximum pour un enseignement de 6 mois).
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Un étudiant algérien peut être autorisé à travailler. En fonction de différentes situations, les règles à respecter ne sont pas les mêmes.
Oui, un étudiant algérien peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un certificat de résidence étudiant.
L’étudiant peut travailler au maximum 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, l’étudiant algérien peut suivre un contrat d’apprentissage.
Pour signer un contrat d’apprentissage, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
En cas d’inscription pour un diplôme de master ou un diplôme de niveau I reconnu par la Conférence des grandes école , la condition d’1 an pour signer un contrat d’apprentissage n’est pas demandée.
L’étudiant algérien doit avoir un certificat de résidence étudiant.
Dans le cadre de ses études, l’étudiant peut travailler au-delà de 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, l’étudiant algérien peut suivre un contrat de professionnalisation.
Pour signer un contrat de professionnalisation, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
L’étudiant algérien doit avoir un certificat de résidence étudiant.
Dans le cadre de ses études, l’étudiant peut travailler au-delà de 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, un étudiant algérien peut travailler pendant ses études lorsque celles-ci comprennent une séquence de travail salarié pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un certificat de résidence étudiant.
Dans le cadre de ses études, l’étudiant peut travailler au-delà de 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, l’étudiant algérien venu pour 6 mois peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour de 6 mois.
La durée de travail autorisée est proportionnelle à la durée de ses études.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Lorsqu’un étudiant non européen fait ses études en France, il a un titre de séjour étudiant. Pendant ses études en France, l’étudiant étranger peut exercer une activité salariée sous certaines conditions. Des règles particulières s’appliquent en fonction de la nationalité de l’étudiant étranger. Combien d’heures un étudiant étranger peut-il travailler pendant ses études ? L’employeur doit-il demander une autorisation de travail ? Nous faisons un point sur la réglementation.
Des règles particulières s’appliquent en fonction de la nationalité de l’étudiant étranger.
Un étudiant étranger non européen peut être autorisé à travailler. En fonction de différentes situations, les règles à respecter ne sont pas les mêmes.
Oui, un étudiant étranger non européen peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
L’étudiant peut travailler 964 heures par an maximum ( 60 % de la durée annuelle légale du travail).
S’il ne respecte pas cette limite, il risque le retrait et le refus de renouvellement de son titre de séjour.
Cette durée commence à la délivrance de la carte ou la validation du VLS-TS. Par exemple, si le titre de séjour a été délivré le 20 septembre 2023, il peut travailler 964 heures au maximum jusqu’au 19 septembre 2024.
L’étudiant peut exercer toute activité salariée sans autre autorisation de travail.
L’employeur n’a pas à demander d’autorisation de travail.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, sous certaines conditions, l’étudiant étranger non européen peut suivre un contrat d’apprentissage.
Pour signer un contrat d’apprentissage, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
En cas d’inscription pour un diplôme de master ou un diplôme de niveau I reconnu par la Conférence des grandes écoles , la condition d’1 an pour signer un contrat d’apprentissage n’est pas demandée.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
Il peut travailler au-delà de 964 heures/an dans le cadre de ses études.
Quand le contrat est validé par l’opérateur de compétences (OPCO) (ou par la Dreets en cas d’apprentissage dans la fonction publique), l’employeur n’a pas à demander d’autorisation de travail.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, sous certaines conditions, l’étudiant étranger non européen peut suivre un contrat de professionnalisation.
Pour signer un contrat de professionnalisation, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
Il peut travailler au-delà de 964 heures/an dans le cadre de ses études.
Pour travailler plus de 964 heures, l’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, un étudiant étranger non européen peut travailler pendant ses études lorsque celles-ci comprennent une séquence de travail salarié pendant ses études.
L’étudiant avoir un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) étudiant ou une carte de séjour étudiant.
L’étudiant peut travailler dans la limite de 964 heures par an dans le cadre de ses études.
Pour travailler plus de 964 heures, l’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, un étudiant étranger non européen venu pour 6 mois peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour de 6 mois.
La durée de travail autorisée est proportionnelle à la durée de ses études (par exemple, 482 heures maximum pour un enseignement de 6 mois).
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Un étudiant algérien peut être autorisé à travailler. En fonction de différentes situations, les règles à respecter ne sont pas les mêmes.
Oui, un étudiant algérien peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un certificat de résidence étudiant.
L’étudiant peut travailler au maximum 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, l’étudiant algérien peut suivre un contrat d’apprentissage.
Pour signer un contrat d’apprentissage, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
En cas d’inscription pour un diplôme de master ou un diplôme de niveau I reconnu par la Conférence des grandes école , la condition d’1 an pour signer un contrat d’apprentissage n’est pas demandée.
L’étudiant algérien doit avoir un certificat de résidence étudiant.
Dans le cadre de ses études, l’étudiant peut travailler au-delà de 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, l’étudiant algérien peut suivre un contrat de professionnalisation.
Pour signer un contrat de professionnalisation, l’étudiant doit être en France depuis plus d’1 an.
L’étudiant algérien doit avoir un certificat de résidence étudiant.
Dans le cadre de ses études, l’étudiant peut travailler au-delà de 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, un étudiant algérien peut travailler pendant ses études lorsque celles-ci comprennent une séquence de travail salarié pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un certificat de résidence étudiant.
Dans le cadre de ses études, l’étudiant peut travailler au-delà de 50 % de la durée annuelle de travail pratiquée dans la branche ou la profession concernée.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Oui, l’étudiant algérien venu pour 6 mois peut travailler pendant ses études.
L’étudiant doit avoir un visa de long séjour de 6 mois.
La durée de travail autorisée est proportionnelle à la durée de ses études.
L’employeur doit demander et obtenir une autorisation de travail avant de pouvoir débuter l’activité.
L’embauche ne peut avoir lieu qu’après déclaration nominative de l’employeur auprès de la préfecture du département dans lequel l’établissement employeur a son siège.
L’employeur doit accomplir cette formalité au moins 2 jours ouvrables avant la date d’effet de l’embauche.
Service urbanisme réglementaire de proximité
Accueil Mairie