Démarches d'urbanisme : Urbanisme : construire et rénover

Vous avez un projet d'urbanisme ? Que vous soyez particulier, professionnel·le ou une entreprise, les services mutualisés de Bordeaux métropole vous accompagnent dans vos démarches. Un permis de construire ou de déclaration préalable, des procédures dématérialisées sont disponibles directement en ligne, 24h/24, 7 jours/7.

Publié le – Mis à jour le

Avant de débuter toute construction ou modification d’un bien immobilier, il est important de vérifier le Plan Local d’Urbanisme (PLU) en vigueur dans votre commune. Le PLU détermine les règles d’occupation du sol et les orientations en matière d’aménagement. Si votre projet nécessite une intervention spécifique, il est recommandé de contacter le service d’urbanisme de Bordeaux Métropole pour obtenir des informations personnalisées.

Quelle(s) démarche(s) pour mon projet ?

Pour les travaux de moindre importance, comme les petites extensions ou les aménagements intérieurs, une déclaration préalable de travaux est souvent requise. Pour des projets plus conséquents, comme la construction d’une maison individuelle, un permis de construire est généralement exigé. Ces démarches impliquent la constitution d’un dossier comprenant des plans, des formulaires administratifs et parfois des pièces complémentaires.

Les différents conseils ci-dessous permettent de mieux comprendre les règles d’urbanisme et de mieux identifier votre projet.

  1. Je consulte le règlement d’urbanisme : Les règles diffèrent selon la zone où se situe votre projet sur la commune. Elles sont définies dans le Plan Local d’Urbanisme de Bordeaux Métropole (PLU 3.1)
  2. Le Cadastre :  Il vous est possible d’obtenir des informations sur votre parcelle cadastrale depuis le site : https://www.cadastre.gouv.fr/
  3. Le certificat d’urbanisme : il est possible de demander un certificat d’urbanisme pour obtenir des informations sur le terrain faisant l’objet de travaux.

En fonction de la nature de mon projet, j’obtiens une autorisation d’urbanisme.
La délivrance d’une autorisation d’urbanisme permet à la commune de vérifier la conformité des travaux par rapport aux règles d’urbanisme. Selon l’importance des travaux, il faut déposer un permis (Permis de construire, Permis d’aménager…) ou une déclaration préalable de travaux.

Les différentes demandes d’Autorisation d’Occupation du Sol (AOS)

  • Demande préalable (DP) ou Permis de construire (PC)
  • Transfert de permis de construire ou de permis d’aménager
  • Permis de démolir
  • Permis d’aménagement permet de contrôler les aménagements affectant l’utilisation du sol d’un terrain (exemple : impact environnemental).

Guichet unique en ligne

Bordeaux Métropole propose un guichet unique en ligne pour les usagers disponible 24h/7j, facilitant ainsi la centralisation des démarches. Une plateforme en ligne dédiée aux démarches fournit les informations nécessaires et les formulaires téléchargeables.

  1. Je me connecte au portail de dépôt numérique et je créais un compte
  2. Je saisis en ligne le Cerfa correspondant à ma demande
  3. Je dépose les pièces composant mon dossier
  4. Je valide mon dépôt pour recevoir un récépissé indiquant le délai d’instruction.
  5. Je suis de l’état d’avancement de l’instruction de votre dossier.

Je dépose mon dossier

Attention, le dépôt d’un dossier papier en mairie reste possible. Mais contrairement au dépôt en ligne, il ne permet pas de disposer d’un suivi en temps réel de l’état d’avancement de l’instruction de votre dossier.

Une fois votre dossier validé, arrive l’étape tant attendue de la réalisation !

La durée de validité d’un permis de construire est de 3 ans. Ce délai peut être prorogé 2 fois pour une durée d’1 an.

Pour vous permettre de réaliser les travaux dans les meilleures conditions, voici quelques règles à suivre :

  • Affichage légale : Dès qu’une autorisation d’urbanisme ou une décision de non-opposition vous est accordée, vous avez l’obligation d’afficher cette autorisation sur votre terrain. Cet affichage doit être visible depuis la rue pendant deux mois consécutifs minimum et doit être maintenu pendant toute la durée des travaux.
  • Pour permettre à vous et/ou aux différents corps de métier d’intervenir (benne, camion, échafaudage, etc.), il est nécessaire d’effectuer une demande de permission ou d’autorisation de voirie, de permis de stationnement, ou d’autorisation d’entreprendre des travaux et de la renvoyer, une fois complétée, à : espaces-publics@mairie-begles.fr
  • Respecter les horaires, à savoir les jours ouvrables : Correspond à tous les jours de la semaine, à l’exception du jour de repos hebdomadaire (généralement le dimanche) et des jours fériés habituellement non travaillés dans l’entreprise de 8h00 à 20h00 (ou de 7h30 à 19h30). Des dérogations par arrêté préfectoral ou municipal peuvent cependant être délivrées concernant les horaires des travaux, mais aussi les plages horaires d’utilisation de certains engins particulièrement bruyants.
  • Prévenir vos voisins : plus qu’un geste de courtoisie, c’est aussi une manière de se protéger contre une plainte éventuelle. Pour informer vos voisins, le meilleur moyen est de leur adresser un courrier. Votre lettre devra contenir des informations essentielles telles que le type de travaux et leur durée.

Bon à savoir

Le délai d’instruction est de 1 mois pour les déclarations préalables. Le délai de droit commun d’un permis de construire est de 2 mois pour les maisons individuelles, et de 3 mois pour tout autre permis (collectifs, entreprises…). Ces différents délais peuvent être plus long, si le projet se situe dans le périmètre des Bâtiments de France.

Dans les 15 jours qui suivent le dépôt du dossier et durant toute l’instruction, un avis de dépôt de demande de permis de construire précisant les caractéristiques essentielles de votre projet est affiché en mairie.

La durée de validité d’un permis de construire est de 3 ans. Ce délai peut être prorogé 2 fois pour une durée d’1 an.

Il vous est possible de consulter un dossier de permis de construire, sauf pendant sa période d’instruction, car à ce stade, il ne constitue qu’un document préparatoire, non communicable et non consultable :

  • Pour les dossiers déposés avant le 1er janvier 2022, la consultation s’effectue en mairie sur rendez-vous,
  • Pour les dossiers déposés après le 1er janvier 2022, la consultation s’effectue en ligne via le guichet unique

Permanences en mairie

Vous avez des questions, votre projet nécessite un accompagnement spécifique, vous pouvez prendre rendez-vous en mairie avec un·e instructeur·trice.

La prise de rendez-vous se fait uniquement par téléphone au 05 56 49 88 37

Frais de justice : coût d’un procès

Les frais de justice correspondent à l’ensemble des dépenses liées à un procès. Il y a les frais directement liés au déroulement de la procédure, tels que les frais de commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire) ou les frais d’expertise, mais aussi les autres frais (honoraires d’avocat, frais de déplacement…).

Il est impossible de calculer à l’avance le coût total d’un procès, car cela varie en fonction de plusieurs éléments : la juridiction saisie, la procédure utilisée, la complexité de l’affaire et le sens du verdict.

    Il y a 2 sortes de frais liés à un procès : les dépens et les frais irrépétibles.

    Dépens

    Définition

    On appelle dépens l’ensemble des frais directement liés à la procédure judiciaire.

    Une partie des dépens est liée au dépôt de la demande en justice.

    Il est souvent gratuit de porter un litige devant devant la justice, mais parfois la demande est payante.

    Il peut y avoir aussi des frais de commissaire de justice pour informer votre adversaire de sa convocation en justice.

    Une autre partie des dépens est liée au déroulement de la procédure.

    Il s’agit des frais suivants :

    • Frais d’actes effectués pour permettre au juge d’avoir tous les éléments pour juger l’affaire (expertises, traduction de documents en français, constat du commissaire de justice, audition avec des mineurs avec un spécialiste, convocation de toutes les parties concernées par le litige, même à l’étranger etc…)

    • Frais d’actes effectués pour éviter une dégradation de la situation avant le jugement (par exemple, saisie conservatoire)

    • Indemnité de comparution versée aux témoins

    • Droit fixe de procédure payé par le condamné en matière pénale

    • Droit de plaidoirie payés par les avocats

    • Droits, taxes ou redevances perçus par l’administration des impôts ou par les greffes des tribunaux civils

    • Frais de notification du jugements aux parties, même à l’étranger

    Qui doit prendre en charge les dépens ?

    C’est le juge qui décide qui doit prendre en charge les dépens. En général, le juge met les dépens à la charge de celui qui perd le procès, mais pas toujours.

    Frais irrépétibles

    Définition

    Les frais irrépétibles sont toutes les dépenses occasionnées par le procès, mais qui ne sont pas comprises dans les dépens. Il s’agit principalement des honoraires d’avocats, mais aussi d’autres dépenses liées au procès, comme par exemple les frais de déplacement et d’hébergement.

    Qui doit les prendre en charge ?

    En principe, chacun doit prendre en charge les frais qu’il a engagés pour le procès. Mais vous pouvez demander au juge de mettre une partie ou la totalité de vos frais irrépétibles à la charge de votre adversaire. Le juge décidera en fonction des circonstances de l’affaire.

    Frais du procès

    Les dépens du procès civil comprennent les frais suivants :

    • Droits, taxes, redevances ou émoluments perçus par l’administration des impôts ou par les greffes des tribunaux civils

    • Frais de traduction des actes

    • Indemnités de comparution des témoins (déplacement, séjour, etc.)

    • Rémunération des techniciens (experts, consultants, etc.)

    • Rémunération des officiers publics et ministériels, notamment les commissaires de justice (actes d’assignation, significations de jugement, saisies, etc.)

    • Rémunération de l’avocat hors honoraires (droits de plaidoirie, émoluments et divers droits ou frais au tarif réglementé)

    • Indemnité versée par l’État à l’avocat de la partie bénéficiaire de l’aide juridictionnelle

    • Frais occasionnés par la notification d’un acte à l’étranger

    • Frais d’interprétariat et de traduction relatifs à des mesures d’instruction effectuées à l’étranger

    • Frais d’enquêtes sociales ordonnées par le juge aux affaires familiales ou le juge des tutelles

    • Rémunération de la personne désignée par le juge pour entendre le mineur dans une procédure le concernant

    • Frais concernant les mesures, enquêtes et examens requis en matière de déplacement illicite international d’enfants

    Le juge doit obligatoirement dire qui doit payer les dépens. C’est généralement la partie perdante qui doit assurer ces frais. On parle alors de condamnation aux dépens .

    En matière civile, les frais irrépétibles comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

    Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

    Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

    Honoraires d’avocat

    Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

    Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

    • Situation financière du client

    • Difficulté de l’affaire

    • Frais exposés

    • Notoriété de l’avocat

    • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

    Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

    • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

    • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

    Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

    Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

    Prise en charge des frais

    Les frais d’avocats et l’ensemble des frais concernant un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

    Frais du procès

    L’introduction d’une demande auprès du conseil de prud’hommes est gratuite.

    Les dépens au conseil de prud’hommes comprennent notamment la rémunération des commissaires de justice, de l’avocat hors honoraires ou l’indemnité versée par l’État à l’avocat de la partie bénéficiaire de l’aide juridictionnelle.

    Le juge doit obligatoirement dire qui doit payer les dépens. C’est généralement la partie perdante qui doit assurer ces frais. On parle alors de condamnation aux dépens .

    Les frais irrépétibles au conseil de prud’hommes comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

    Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

    Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

    Honoraires d’avocat

    Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

    Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

    • Situation financière du client

    • Difficulté de l’affaire

    • Frais exposés

    • Notoriété de l’avocat

    • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

    Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

    • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

    • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

    Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

    Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

    Prise en charge des frais

    Les frais d’avocats et l’ensemble des frais relatifs à un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

    Frais du procès

    C’est l’État qui prend en charge les coûts du procès pénal (experts, enquête, convocation des témoins, etc.).

    Toutefois, le condamné doit payer des droits fixes de procédure.

    • Procès devant un tribunal de police : 31 €

    • Procès devant un tribunal correctionnel : 127 €

    • Procès devant une cour d’assises : 527 €

    • En cas de décision d’appel statuant en matière correctionnelle et de police : 169 €

    • En cas de décision de la Cour de cassation statuant en matière criminelle, correctionnelle ou de police : 211 €

    Les condamnés mineurs ne payent pas de droit de procédure.

    En matière pénale, les frais irrépétibles comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

    Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

    Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

    À savoir

    en cas de dépôt de plainte avec constitution de partie civile, vous devez déposer une somme d’argent appelée consignation. Cette somme garantit le paiement d’une éventuelle amende en cas de constitution de partie civile abusive. Si l’enquête confirme votre bonne foi, cette somme vous est restituée.

    Honoraires d’avocat

    Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

    Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

    • Situation financière du client

    • Difficulté de l’affaire

    • Frais exposés

    • Notoriété de l’avocat

    • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

    Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

    • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

    • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive).

    Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

    Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

    Prise en charge des frais

    Les frais d’avocats et l’ensemble des frais relatifs à un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

    Frais du procès

    L’introduction d’une requête devant le tribunal administratif est gratuite.

    En matière administrative, les dépens comprennent notamment les frais d’expertise et d’enquête. C’est la partie perdante qui doit payer ces frais, sauf exceptions.

    Dans le procès administratif, les frais irrépétibles comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès. Le juge peut condamner une partie à prendre en charge les frais irrépétibles de la partie adverse.

    Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

    Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

    Honoraires d’avocat

    Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

    Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

    • Situation financière du client

    • Difficulté de l’affaire

    • Frais exposés

    • Notoriété de l’avocat

    • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

    Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

    • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

    • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

    Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

    Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

    Prise en charge des frais

    Les frais d’avocats et l’ensemble des frais relatifs à un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

    Frais du procès

    Le coût du procès au tribunal de commerce varie selon le mode d’introduction de la demande et le type de litige. Vous pouvez vous renseigner sur le site internet du tribunal concerné.

    Les dépens en matière commerciale comprennent les frais suivants :

    • Droits, taxes, redevances ou émoluments perçus par les greffes des tribunaux de commerce

    • Frais de traduction des actes

    • Indemnités de comparution des témoins (déplacement, séjour, etc.)

    • Rémunération des techniciens (experts, consultants, etc.)

    • Rémunération des officiers publics et ministériels, notamment les commissaires de justice (actes d’assignation, significations de jugement, saisies, etc.)

    • Rémunération de l’avocat hors honoraires (droits de plaidoirie, émoluments et divers droits ou frais au tarif réglementé)

    • Indemnité versée par l’État à l’avocat de la partie bénéficiaire de l’aide juridictionnelle

    • Frais occasionnés par la notification d’un acte à l’étranger

    • Frais d’interprétariat et de traduction relatifs à des mesures d’instruction effectuées à l’étranger

    • Frais d’enquêtes sociales ordonnées par le juge aux affaires familiales ou le juge des tutelles

    • Rémunération de la personne désignée par le juge pour entendre le mineur dans une procédure le concernant

    • Frais concernant les mesures, enquêtes et examens requis en matière de déplacement illicite international d’enfants

    Le juge doit obligatoirement dire qui doit payer les dépens. C’est généralement la partie perdante qui doit assurer ces frais. On parle alors de condamnation aux dépens .

    Les frais irrépétibles pour le procès commercial comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

    Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

    Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

    Honoraires d’avocat

    Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

    Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

    • Situation financière du client

    • Difficulté de l’affaire

    • Frais exposés

    • Notoriété de l’avocat

    • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

    Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

    • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

    • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

    Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

    Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

    Prise en charge des frais

    Les frais d’avocats et l’ensemble des frais concernant un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

Accès au droit et à la justice

    Frais de justice : coût d’un procès

    Les frais de justice correspondent à l’ensemble des dépenses liées à un procès. Il y a les frais directement liés au déroulement de la procédure, tels que les frais de commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire) ou les frais d’expertise, mais aussi les autres frais (honoraires d’avocat, frais de déplacement…).

    Il est impossible de calculer à l’avance le coût total d’un procès, car cela varie en fonction de plusieurs éléments : la juridiction saisie, la procédure utilisée, la complexité de l’affaire et le sens du verdict.

      Il y a 2 sortes de frais liés à un procès : les dépens et les frais irrépétibles.

      Dépens

      Définition

      On appelle dépens l’ensemble des frais directement liés à la procédure judiciaire.

      Une partie des dépens est liée au dépôt de la demande en justice.

      Il est souvent gratuit de porter un litige devant devant la justice, mais parfois la demande est payante.

      Il peut y avoir aussi des frais de commissaire de justice pour informer votre adversaire de sa convocation en justice.

      Une autre partie des dépens est liée au déroulement de la procédure.

      Il s’agit des frais suivants :

      • Frais d’actes effectués pour permettre au juge d’avoir tous les éléments pour juger l’affaire (expertises, traduction de documents en français, constat du commissaire de justice, audition avec des mineurs avec un spécialiste, convocation de toutes les parties concernées par le litige, même à l’étranger etc…)

      • Frais d’actes effectués pour éviter une dégradation de la situation avant le jugement (par exemple, saisie conservatoire)

      • Indemnité de comparution versée aux témoins

      • Droit fixe de procédure payé par le condamné en matière pénale

      • Droit de plaidoirie payés par les avocats

      • Droits, taxes ou redevances perçus par l’administration des impôts ou par les greffes des tribunaux civils

      • Frais de notification du jugements aux parties, même à l’étranger

      Qui doit prendre en charge les dépens ?

      C’est le juge qui décide qui doit prendre en charge les dépens. En général, le juge met les dépens à la charge de celui qui perd le procès, mais pas toujours.

      Frais irrépétibles

      Définition

      Les frais irrépétibles sont toutes les dépenses occasionnées par le procès, mais qui ne sont pas comprises dans les dépens. Il s’agit principalement des honoraires d’avocats, mais aussi d’autres dépenses liées au procès, comme par exemple les frais de déplacement et d’hébergement.

      Qui doit les prendre en charge ?

      En principe, chacun doit prendre en charge les frais qu’il a engagés pour le procès. Mais vous pouvez demander au juge de mettre une partie ou la totalité de vos frais irrépétibles à la charge de votre adversaire. Le juge décidera en fonction des circonstances de l’affaire.

      Frais du procès

      Les dépens du procès civil comprennent les frais suivants :

      • Droits, taxes, redevances ou émoluments perçus par l’administration des impôts ou par les greffes des tribunaux civils

      • Frais de traduction des actes

      • Indemnités de comparution des témoins (déplacement, séjour, etc.)

      • Rémunération des techniciens (experts, consultants, etc.)

      • Rémunération des officiers publics et ministériels, notamment les commissaires de justice (actes d’assignation, significations de jugement, saisies, etc.)

      • Rémunération de l’avocat hors honoraires (droits de plaidoirie, émoluments et divers droits ou frais au tarif réglementé)

      • Indemnité versée par l’État à l’avocat de la partie bénéficiaire de l’aide juridictionnelle

      • Frais occasionnés par la notification d’un acte à l’étranger

      • Frais d’interprétariat et de traduction relatifs à des mesures d’instruction effectuées à l’étranger

      • Frais d’enquêtes sociales ordonnées par le juge aux affaires familiales ou le juge des tutelles

      • Rémunération de la personne désignée par le juge pour entendre le mineur dans une procédure le concernant

      • Frais concernant les mesures, enquêtes et examens requis en matière de déplacement illicite international d’enfants

      Le juge doit obligatoirement dire qui doit payer les dépens. C’est généralement la partie perdante qui doit assurer ces frais. On parle alors de condamnation aux dépens .

      En matière civile, les frais irrépétibles comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

      Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

      Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

      Honoraires d’avocat

      Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

      Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

      • Situation financière du client

      • Difficulté de l’affaire

      • Frais exposés

      • Notoriété de l’avocat

      • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

      Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

      • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

      • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

      Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

      Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

      Prise en charge des frais

      Les frais d’avocats et l’ensemble des frais concernant un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

      Frais du procès

      L’introduction d’une demande auprès du conseil de prud’hommes est gratuite.

      Les dépens au conseil de prud’hommes comprennent notamment la rémunération des commissaires de justice, de l’avocat hors honoraires ou l’indemnité versée par l’État à l’avocat de la partie bénéficiaire de l’aide juridictionnelle.

      Le juge doit obligatoirement dire qui doit payer les dépens. C’est généralement la partie perdante qui doit assurer ces frais. On parle alors de condamnation aux dépens .

      Les frais irrépétibles au conseil de prud’hommes comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

      Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

      Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

      Honoraires d’avocat

      Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

      Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

      • Situation financière du client

      • Difficulté de l’affaire

      • Frais exposés

      • Notoriété de l’avocat

      • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

      Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

      • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

      • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

      Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

      Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

      Prise en charge des frais

      Les frais d’avocats et l’ensemble des frais relatifs à un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

      Frais du procès

      C’est l’État qui prend en charge les coûts du procès pénal (experts, enquête, convocation des témoins, etc.).

      Toutefois, le condamné doit payer des droits fixes de procédure.

      • Procès devant un tribunal de police : 31 €

      • Procès devant un tribunal correctionnel : 127 €

      • Procès devant une cour d’assises : 527 €

      • En cas de décision d’appel statuant en matière correctionnelle et de police : 169 €

      • En cas de décision de la Cour de cassation statuant en matière criminelle, correctionnelle ou de police : 211 €

      Les condamnés mineurs ne payent pas de droit de procédure.

      En matière pénale, les frais irrépétibles comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

      Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

      Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

      À savoir

      en cas de dépôt de plainte avec constitution de partie civile, vous devez déposer une somme d’argent appelée consignation. Cette somme garantit le paiement d’une éventuelle amende en cas de constitution de partie civile abusive. Si l’enquête confirme votre bonne foi, cette somme vous est restituée.

      Honoraires d’avocat

      Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

      Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

      • Situation financière du client

      • Difficulté de l’affaire

      • Frais exposés

      • Notoriété de l’avocat

      • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

      Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

      • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

      • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive).

      Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

      Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

      Prise en charge des frais

      Les frais d’avocats et l’ensemble des frais relatifs à un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

      Frais du procès

      L’introduction d’une requête devant le tribunal administratif est gratuite.

      En matière administrative, les dépens comprennent notamment les frais d’expertise et d’enquête. C’est la partie perdante qui doit payer ces frais, sauf exceptions.

      Dans le procès administratif, les frais irrépétibles comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès. Le juge peut condamner une partie à prendre en charge les frais irrépétibles de la partie adverse.

      Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

      Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

      Honoraires d’avocat

      Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

      Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

      • Situation financière du client

      • Difficulté de l’affaire

      • Frais exposés

      • Notoriété de l’avocat

      • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

      Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

      • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

      • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

      Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

      Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

      Prise en charge des frais

      Les frais d’avocats et l’ensemble des frais relatifs à un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

      Frais du procès

      Le coût du procès au tribunal de commerce varie selon le mode d’introduction de la demande et le type de litige. Vous pouvez vous renseigner sur le site internet du tribunal concerné.

      Les dépens en matière commerciale comprennent les frais suivants :

      • Droits, taxes, redevances ou émoluments perçus par les greffes des tribunaux de commerce

      • Frais de traduction des actes

      • Indemnités de comparution des témoins (déplacement, séjour, etc.)

      • Rémunération des techniciens (experts, consultants, etc.)

      • Rémunération des officiers publics et ministériels, notamment les commissaires de justice (actes d’assignation, significations de jugement, saisies, etc.)

      • Rémunération de l’avocat hors honoraires (droits de plaidoirie, émoluments et divers droits ou frais au tarif réglementé)

      • Indemnité versée par l’État à l’avocat de la partie bénéficiaire de l’aide juridictionnelle

      • Frais occasionnés par la notification d’un acte à l’étranger

      • Frais d’interprétariat et de traduction relatifs à des mesures d’instruction effectuées à l’étranger

      • Frais d’enquêtes sociales ordonnées par le juge aux affaires familiales ou le juge des tutelles

      • Rémunération de la personne désignée par le juge pour entendre le mineur dans une procédure le concernant

      • Frais concernant les mesures, enquêtes et examens requis en matière de déplacement illicite international d’enfants

      Le juge doit obligatoirement dire qui doit payer les dépens. C’est généralement la partie perdante qui doit assurer ces frais. On parle alors de condamnation aux dépens .

      Les frais irrépétibles pour le procès commercial comprennent notamment les honoraires d’avocats, les frais de déplacement et d’hébergement pour les besoins du procès.

      Si la partie gagnante rémunère son avocat via l’aide juridictionnelle, le tribunal peut condamner la partie perdante à verser à l’avocat de la partie gagnante des honoraires supplémentaires.

      Dans tous les cas, le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée.

      Honoraires d’avocat

      Le montant des honoraires est libre. Sauf en cas d’urgence, de force majeure ou lorsque le justiciable bénéficie de l’aide juridictionnelle totale, la rémunération de l’avocat doit faire l’objet d’un accord écrit entre lui et son client.

      Plusieurs critères sont utilisés pour fixer la rémunération de l’avocat :

      • Situation financière du client

      • Difficulté de l’affaire

      • Frais exposés

      • Notoriété de l’avocat

      • Temps et disponibilité consacrés à l’affaire

      Un avocat peut ainsi être rémunéré de 2 manières :

      • Règlement au temps passé sur la base d’un taux horaire lié notamment à la complexité de l’affaire

      • Règlement forfaitaire pour les procédures simples (le montant du forfait est payé comme une rémunération globale et définitive)

      Un honoraire complémentaire peut aussi être fixé en fonction du résultat obtenu ou du service rendu.

      Les frais de fonctionnement s’y ajoutent (ouverture de dossier, téléphone, photocopies, déplacements, etc.).

      Prise en charge des frais

      Les frais d’avocats et l’ensemble des frais concernant un procès peuvent être pris en charge par l’aide juridictionnelle. Cette prise en charge peut être partielle ou totale.

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