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Archives municipales
Publié le – Mis à jour le
Un acte d’état civil désigne l’ensemble des éléments relatifs à la personne qui identifient un individu par son nom, prénoms, la date et le lieu de sa naissance et sa situation maritale.
Vous êtes victime ou témoin d’un écrit ou d’un discours qui incite d’autres personnes à avoir une réaction haineuse ou violente ? Il s’agit d’une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination. Si ces propos ou contenus sont tenus ou exposés en public, l’incitation est publique. S’ils ont lieu dans un espace restreint ou privé, l’incitation est non publique. En tant que victime de cette infraction, vous pouvez porter plainte. Nous vous présentons les informations à connaître.
L’incitation publique à la haine, à la violence ou à la discrimination est un délit.
L’auteur des faits, par un écrit, une image, une vidéo, etc. pousse certaines personnes à avoir une réaction malveillante et haineuse à l’encontre d’autres individus ou groupes d’individus en raison de caractéristiques telles que :
La nationalité
La religion
L’ethnie
Le sexe
L’orientation sexuelle
Le handicap
L’incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination est constituée dès lors que l’auteur utilise l’un des moyens suivants :
Discours
Menaces
Écrits, gravures, peintures
Images, affiches
Vidéos
L’incitation est publique lorsque les propos ou contenus peuvent être vus, lus ou entendus par le public (par exemple, sur un réseau social).
Toute personne, victime ou témoin d’une publication sur internet incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.
Si les équipes de PHAROS estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (exemple : services d’enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale). Une enquête peut être menée sous l’autorité du procureur de la République.
Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l’hébergeur du site ou de la plateforme concerné et lui demander de supprimer le contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination.
Si vous êtes victime ou témoin d’un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez faire une demande de retrait. Pour cela, vous devez faire un signalement :
À l’hébergeur, pour tout contenu publié sur internet
Au directeur de publication, s’il s’agit d’un message adressé par un internaute à unservice de communication en ligne (par exemple, un commentaire laissé sous une vidéo publiée sur un réseau social)
Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d’un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : réseaux sociaux).
Ce dispositif doit être visible et accessible à tous. Il permet de renseigner :
Vos coordonnées (nom, prénom, adresse mail, etc.)
Les raisons pour lesquelles vous estimez que le contenu incite à la haine, à la violence ou à la discrimination
La localisation précise du contenu signalé (par exemple, l’adresse URL).
À la suite de ce signalement, l’hébergeur est obligé de retirer le contenu illicite ou d’en bloquer l’accès. S’il n’agit pas très vite, il encourt des sanctions pénales.
Si vous êtes victime ou témoin d’un commentaire laissé sur internet qui incite à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez le signaler au directeur de publication du site.
La demande doit être adressée au directeur de publication du service de communication en ligne par lettre recommandée avec accusé de réception. Elle doit mentionner :
Le contenu que vous dénoncez (exemple : vous pouvez faire un copier/coller du texte concerné)
L’adresse internet (URL) du service de communication en ligne sur lequel la publication a été faite.
Dès qu’il a connaissance du caractère illicite du commentaire, le directeur de publication doit immédiatement le faire retirer. S’il ne le fait pas, il risque des sanctions pénales.
Si vous êtes victime d’une publication incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez agir en justice contre son auteur.
Si vous avez demandé à l’hébergeur d’un site internet ou d’une plateforme en ligne de retirer un tel contenu et qu’il ne l’a pas fait, vous pouvez également engager sa responsabilité pénale.
Si vous avez signalé un commentaire en ligne incitant à la haine, à la violence et à la discrimination et qu’il n’a pas été supprimé, vous pouvez agir en justice contre le directeur de publication.
Si une publication incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre l’auteur de ce contenu.
Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.
Votre plainte doit être déposée auprès d’un commissariat de police, d’une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.
Il vous est possible de demander l’assistance d’un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu’à l’éventuel jugement de l’auteur de cette infraction.
Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir au jugement de l’auteur des faits par le tribunal correctionnel .
Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts à l’auteur de l’infraction.
Si l’hébergeur internet n’a pas retiré un contenu illicite qui vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre lui.
Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.
Votre plainte doit être déposée auprès d’un commissariat de police, d’une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.
Il vous est possible de demander l’assistance d’un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu’à l’éventuel jugement de l’hébergeur.
Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation de l’hébergeur par le tribunal correctionnel .
Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts à l’hébergeur.
Si le directeur de publication n’a pas retiré un commentaire illicite qui vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre lui.
Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.
Votre plainte doit être déposée auprès d’un commissariat de police, d’une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.
Il vous est possible de demander l’assistance d’un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu’à l’éventuel jugement du directeur de publication.
Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation du directeur de publication par le tribunal correctionnel .
Si la responsabilité pénale du directeur de publication est engagée, l’auteur du commentaire peut également être condamné en tant que complice.
Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts au directeur de publication et à l’auteur de l’incitation.
L’auteur d’une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination peut être jugé et condamné à une sanction pénale par le tribunal correctionnel . Il en est de même de l’hébergeur ou du directeur de publication qui ne respectent pas leurs obligations.
L’auteur d’une provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt des sanctions pénales qui diffèrent selon son statut : particulier, personne dépositaire de l’autorité publique (exemple : un policier) ou chargée d’une mission de service public (exemple : un chauffeur de bus).
Peine principale
L’auteur d’une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :
1 an de prison
45 000 € d’amende.
Peines complémentaires
L’auteur des faits peut également être condamné à des peines complémentaires tel que le bannissement des plateformes en ligne.
Cette sanction consiste à le bannir de la plateforme en ligne à partir de laquelle il a commis l’infraction. Dès qu’ils sont informés de cette condamnation, les fournisseurs d’accès au service en ligne concerné doivent bloquer les comptes de l’auteur des faits et veiller à ce qu’il ne puisse pas en créer de nouveaux.
Ce bannissement est valable pour une durée maximale de 6 mois. Cette période peut être portée à un an en cas de récidive.
Peines principales
L’auteur d’une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :
3 ans de prison
75 000 € d’amende.
Peines complémentaires
L’auteur des faits peut également être condamné à des peines complémentaires tel que le bannissement des plateformes en ligne.
Cette sanction consiste à le bannir de la plateforme en ligne à partir de laquelle il a commis l’infraction. Dès qu’ils sont informés de cette condamnation, les fournisseurs d’accès au service en ligne concerné doivent bloquer les comptes de l’auteur des faits et veiller à ce qu’il ne puisse pas en créer de nouveaux.
Ce bannissement est valable pour une durée maximale de 6 mois. Cette période peut être portée à un an en cas de récidive.
Le directeur de publication qui ne retire pas immédiatement un contenu illicite ou qui n’en bloque pas l’accès encourt les mêmes sanctions que l’auteur du contenu. On dit qu’il est poursuivi comme auteur principal .
Par conséquent, les peines diffèrent en fonction du statut de l’auteur de la publication.
Le directeur de publication qui s’abstient de retirer ou de bloquer l’accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :
1 an de prison
45 000 € d’amende.
Le directeur de publication qui s’abstient de retirer ou de bloquer l’accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :
3 ans de prison
75 000 € d’amende.
Les peines encourues par l’hébergeur ne sont pas les mêmes selon qu’il s’agit d’une personne physique ou d’une personne morale.
L’hébergeur qui s’abstient de retirer ou de bloquer l’accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :
1 an de prison
250 000 € d’amende.
L’hébergeur qui s’abstient de retirer ou de bloquer l’accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine d’amende qui ne peut pas dépasser 6 % de son chiffre d’affaires mondial annuel au cours de l’année précédente.
L’incitation non publique à la haine, à la violence ou à la discrimination est une contravention.
L’auteur des faits, par un écrit, une image, une vidéo, etc. pousse certaines personnes à avoir une réaction malveillante et haineuse à l’encontre d’autres individus ou groupes d’individus en raison de caractéristiques telles que :
La nationalité
La religion
L’ethnie
Le sexe
L’orientation sexuelle
Le handicap
L’incitation à la haine est constituée dès lors que l’auteur utilise l’un des moyens suivants :
Discours
Menaces
Ecrits, gravures, peintures
Images, affiches
Vidéos
L’incitation est non publique lorsqu’elle a lieu en comité restreint (exemple : lors d’une réunion de famille ou professionnelle).
En tant que victime d’une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez déposer plainte contre l’auteur des faits. Il est nécessaire que les propos, les écrits, l’image, etc. vous portent directement atteinte.
Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.
Votre plainte doit être déposée auprès d’un commissariat de police, d’une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.
Il vous est possible de demander l’assistance d’un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu’à l’éventuel jugement de l’auteur de l’infraction.
Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation de l’auteur des faits.
Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez demander des dommages et intérêts.
L’auteur d’une provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination peut être jugé et condamné à des sanctions pénales par le tribunal de police .
Il encourt une amende de 1500 € . Elle peut être portée à 3000 € en cas de récidive.
Écoute, informe et conseille les victimes d’infractions ainsi que leurs proches.
Par téléphone
116 006
Appel gratuit
Ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h
Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro à tarification normale).
Par courriel
victimes@france-victimes.fr
Pour poser vos questions de façon anonyme et confidentielle sur le harcèlement en ligne (cyber-harcèlement).
Par téléphone
3018
Ouvert 7 jours sur 7, de 9h à 23H
Appel gratuit et anonyme
Site internet
Téléservice
Téléservice
Les actes d’état civil de plus de 100 ans sont accessibles sur simple demande écrite par courrier électronique à archive@mairie-begles.fr. Vous avez aussi la possibilité d’effectuer une recherche sur le site des archives métropolitaine.
Consulter aussi :
> les archives départementales ;
> Les archives métropolitaines ;
> France archives, le portail national des archives.
La libre communicabilité des actes d’état civil (naissance, mariage, décès ) de plus de 100 ans est régie par l’article L. 213-1 du Code du Patrimoine. Ce texte de loi expose que les actes d’état civil, de plus de 100 ans peuvent être librement consultés et délivrés à tout individu en faisant la demande.Aucun lien de parenté avec la personne concernée par l’acte n’est nécessaire.
Les actes ne seront cependant délivrés qu’aux personnes majeures, sur présentation de leur carte d’identité.
Le service des archives municipales est mutualisé
Depuis le 1er janvier 2022, le service des archives de la commune de Bègles, a rejoint le service commun des Archives de Bordeaux Métropole.
Le fonds est transféré progressivement à l’hôtel des Archives de Bordeaux Métropole, situé au cœur de l’écoquartier Bastide-Niel à Bordeaux, sur la rive droite de la Garonne.
+ d’infos sur https://archives.bordeaux-metropole.fr/